L’observation du mouvement du tuyau, offre un grand intérêt, car il permet de mettre en évidence la notion de vitesse de glissement et de roulement sans glissement.
Voila où nous en sommes resté, nous connaissons la vitesse du point B appartenant au levier 3 dans son mouvement par rapport au bâti 2. Maintenant analysons le mouvement du tuyau 1 par rapport au bâti 2, en analysant ce qui se passe au niveau du point B. Les deux hypothèses au sujet du glissement ou bien du roulement sans glissement sont très discutables , j’en convient…… et j’y reviendrai certainement |
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Nous allons considérer qu’il y a roulement sans glissement en A. Donc supposition d’un contact avec fort coefficient de frottement. Ici je vous rappelle le cours et son application sur l’exercice. |
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A l’inverse en B, je vais supposer du glissement. Donc supposition d’un contact avec faible coefficient de frottement, avec graissage par exemple. Ici je vous rappelle également le cours et son application sur l’exercice. |
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Voici la loi de composition des vitesses que l’on peut écrire au niveau du point B | |
Nous pouvons donc appliquer graphiquement la loi de composition des vitesses en B, pour en déduire la vitesse de glissement, que l’on constate avec ces hypothèses très importantes, au regard de la vitesse de sortie du vérin. On en déduit également la vitesse du point B du tuyau par rapport au bâti 2. Du coup, si l’on veut connaître la vitesse angulaire instantanée du tuyau par rapport au bâti 2, il suffit de diviser cette vitesse linéaire par le rayon AB |